12 Mars 2015
Je les entends d’ici les bien-pensantes ou autres féministes : On n’est pas des animaux pour se faire claquer sur les fesses de la sorte ! QUENENI ! Nous avons toutes besoin de temps en temps, que notre homme nous rappelle « qui est le patron à la maison. »
Non, je ne vous parle pas de se faire insulter de « salope » au lit, bien que je vous recommande de vous comporter comme telle... Je parle de LA FESSEE !
Faire l’amour c’est bien sympa, de se contempler dans le blanc des yeux et se lancer des regards amoureux. Mais soyons honnêtes, il y a bien un moment où on finit par s’emmerder sévère. Quand l’action est à son comble, que la tension sexuelle est plus que palpable et que Jules se transforme en véritable machine de sexe, une bonne petite fessée est bien plus que recommandée !
Ca remet les idées en place, et ça donne le rythme. Bien sûr, il faut encore que Jules sache la doser avec doigté histoire de ne pas se retrouver avec la fesse droite (ou gauche selon sa main d’usage) toute rouge. Disons que deux ou trois fessées par acte sexuel est une bonne moyenne. Plus, c’est too much ! Nous ne sommes pas des juments (éviter pour cela tout accessoire suspect).
Il faut également qu’il ne tape pas trop fort. Un petit conseil messieurs : si votre dulcinée laisse lui échapper un « Aïe ! », c’est que vous vous êtes cru dans un remake de « 50 shades of Grey ». N’y allez pas comme des barbares, on ne vous demande pas non plus de réveiller tous les voisins ! Mesurer vos coups (mais pas ceux des reins).
Choisissez également le bon moment. Ne vous lancez pas dans l’expédition de la fessée durant les préliminaires, ça n’a aucun sens ! Vous commencez un livre par la fin ? Non, donc voilà.
Si votre demoiselle est encore un peu frileuse, mieux vaut attendre le moment fatidique et tant attendu de l’orgasme (Dieu le bénisse), s’il vous est bien sûr possible de lui en donner un. Prise de frénésie, elle n’y prêtera quasiment pas attention. Il est même fort possible que cela lui plaise. Gardons à l’esprit que le but de tout ça est d’en faire une " fessétophile ".
Nota Bene pour mes amis du sexe fort : Ne fessez pas votre Jules… En général les hommes n’aiment pas beaucoup ça. Ils se sentent rabaissés. Ce n’est pas parce que Jules le fait que cela vous donne le droit de le faire aussi. Est-ce que vous portez ses vieux caleçons ? Non, donc vous avez compris le principe !
Si durant le feu de l’action, les fesses de votre compagne sont hors de portée (cela peut arriver dans plusieurs positions), vous pouvez viser une autre partie de son corps tant que cela se situe SOUS LA CEINTURE. C’est une règle d’or. On en a connu des téméraires qui, n’ayant pas su réagir, ont giflé « gentiment » (du moins c’est ce qu’ils prétendent) en plein visage, leur partenaire. Ils se sont fait jeter aussi sec ! Prudence, donc…
Je tiens pour finir à rassurer ceux qui pourraient être effrayés… Quand bien même votre chère et tendre n’aurait jamais abordé le sujet avec vous, sachez que cela peut la travailler. Mais par honte, par pudeur, ou même par peur de passer pour une « chaudasse aux tendances sadomasochistes » (comme c’est souvent le cas au début d’une relation), elle aurait passé cela sous silence.
Ce fût mon cas au début de notre histoire avec Jules, et pourtant, quand il s’est jeté à l’eau j’avais juste envie d’hurler « Alléluia il a enfin trouvé le chemin ! »
Sur ces belles paroles, je vous laisse. Je ne voudrais pas non plus vous dévoiler tous nos secrets, vous en deviendrez des hommes parfaits !
Mais gardez juste à l’idée qu’il faut… OSER LA FESSEE !
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